Feder ne fait rien comme tout le monde.

En 2015, c’est l’entêtant « Goodbye » qu’Hadrien Federiconi choisit comme introduction au public. Ce premier single, bien loin d’être un adieu, lui permet de s’imposer comme un pilier incontournable de l’électro française. Sa recette magique reste inchangée : des beats réfléchis, des mélodies addictives et un sens inné du twist synthétique.


Alors que les productions actuelles font la course à la simplicité pour séduire, le producteur niçois prend le contrepied de ses pairs, intellectualise sa musique, la passe à la moulinette, l’agrémente de sons tous plus tordus et recherchés les uns que les autres pour obtenir un résultat à la fois accessible et terriblement hypnotisant. Une formule payante, preuve en est avec le succès immédiat des titres ‘Lordly’ (hymne officiel du championnat du monde de Handball) et ‘Breathe’, accompagné d’un clip réalisé par le photographe d’avant-garde britannique Rankin.

Toujours avide de nouvelles collaborations, Feder prouve sans cesse qu’il n’est pas seulement un DJ mais un artiste producteur complet, du studio à la scène.



#lpf25